On est tout de suite happé par cette écriture vive et acéré. La narratrice trouve les mots justes pour dévoiler le lourd secret que dissimule son personnage prénommé Alice .
Si l’écriture un peu désordonnée surprend au départ, nous déconcerte en revanche les allers-retours dans le temps sonnent authentiques .
La violence tant physique que psychologique faites aux enfants à travers ce récit ne peut laisser indifférent .
le lecteur est tenu en haleine jusqu’au final ….
« Mais la nuit revient toujours »
Commencé avant « on l’appelait Céleste » je me suis remise à la rédaction de ce roman que j’avais rangé momentanément dans un coin de ma tête , si le plan de départ avait été défini l’axe à aborder restait flou .
Aujourd’hui tout s’est éclairci et il sera , je l’espère bientôt achevé .
J’y ai mis beaucoup de moi-même dans ce récit qui demeure toutefois une fiction quoique !!!
